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Tuesday, October 11, 2011

LA FIN DE LA TROISIEME PHASE DE LA LUTTE POUR LE CAMEROUN NOUVEAU :


Le mascarade  de 09 Octobre, 2011, que on appelée élection présidentielle a marqué la fin de la troisième phase de la lutte pour le Cameroun Nouveau, avec la défaite totale de l'immense majorité des Camerounais. La défaite était par les mains du system anachronique française imposée sous le régime fantoche de Paul Biya. Les ennemis visibles et cachés du changement qui sont composée des partis d'opposition artificielle et des partis d'opposition qui manquait un sens de direction, n’ont plus des cartes à tirer pour convaincre les Camerounais qu'ils sont toujours pertinents dans la quatrième phase de la lutte qui serait dirigé par le générations post-indépendance.

Et maintenant, la quatrième phase de la lutte pour le Cameroun Nouveau commence. Le but du système en ce moment est de permettre à Paul Biya à toiletter et remettre le pouvoir à un successeur qui, dans la durée du nouveau mandat sera consolider le pouvoir et empêcher les partisans de la vision d'un Cameroun Nouveau ((les union nationalistes, les révolutionnaires, les démocrates, les patriotes et même les croyants déçus du Cameroun Nouveau) de jamais arriver au pouvoir. De cette façon, nous verrons la poursuite du système mafieux. Là-bas serait nations et des groupes d'entreprises qui attachent beaucoup d'importance à l'intérêt personnel que de valeurs. Ces forces sont susceptibles de reconnaître la mascarade par Paul Biya parce qu'il est rentable de le faire. Mais nous ne devrions pas être désillusionnés ou aveuglé par ça. Au lieu de cela, nous devons apprendre d'elle.

Le régime Biya est simplement le visage du système, ou la pointe de l'iceberg. Hier, le régime Ahidjo était tout simplement le visage du système mis en place par De Gaulle et agité par Jacques Foccart. Demain, il y aura un autre visage du système après le départ de Biya. Il pourrait être un autre Beti, un autre Foulani (Peul), un Bamiléké, un Ngemba, un Bakwerie, un Bayangi, un Maka, un Kotoko, un Toupouri, un Bamoun, une Bali, un Bakossi, un Bassa, un Musgum, un Muturwa, une. Gbaya, une chute, un Gidar, un Chamba, un Dii, un Vute, un Baka, un Tikar, un Banen ou même un Bata Mais quel qu'il soit, il serait de servir le système mis en place par la France. Il serait travailler contre l'intérêt de l'immense majorité des Camerounais, et même contre l'intérêt de son groupe ethnique. Toutes les âmes patriotiques et toutes les âmes humaines ne devraient jamais accepter la continuation de la tromperie.

Le Cameroun n'est pas un pays qui ne peut pas être libérés. Je crois que le Cameroun nouveau qui a été le cri de guerre du peuple au cours des six dernières décennies sera réalisé avant la fin de cette décennie. Mais il serait beaucoup plus facile et inclusif de tous les Camerounais, si nous mettons de côté notre sens injustifiée de la division (Anglophilism, Francophilisme, anti-Bamilekeisme ou anti-Tongtuisme, anti-Betisme, anti-Fulanisme, anti-Bassaisme, anti-Bamendrousime, cam-no-goisme, anti-Sawaism etc.); si nous adoptons la noblesse de l'âme camerounaise et si nous nous dissocions des maux dans notre milieu qui pourraient être nos frères et sœurs, nos parents, nos compatriotes ethniques, ou des locuteurs de la langue officielle que  nous identifions avec.

Dans l'avenir, la plupart de nos enfants seraient à peine d'identifier avec les groupes ethniques de leurs origines ancestrales. La plupart d'entre eux seraient nés hors de leur patrie ancestrale. Ils s'identifient comme Camerounais. Et la plupart d'entre eux seraient nés dans les villes et villages de mariages inter-ethniques ou des relations inter-ethniques. C'est la tâche de notre génération de créer le Cameroun  Nouveau que l'évolution sociale du Cameroun a déjà fait, afin d'empêcher l'aliénation de nos enfants de notre belle patrie. Dans environ un demi-siècle à partir de maintenant, l'affiliation tribale serait grâce à un effort conscient par nos petits-enfants.


Si nous regardons tous les concurrents majeurs dans cette mascarade, nous remarquons qu'ils sont nés et ont grandi dans leurs patries ethniques. Ils pensent encore que locale. En outre, ils se font des illusions que leur façon de clocher de regarder la vie et le destin du Cameroun est le reflet fidèle de la réalité camerounaise. Il est vrai que la réalité camerounaise a été détournée politiquement, mais l'évolution sociale du pays ne peut pas être arrêté.

Il est notre place en tant que défenseurs du Cameroun Nouveau à mettre de côté nos préjugés injustifiés, juge ceux qui ont fait possible cette mascarade, à nous dissocier de leurs manières trompeuses, puis joindre les mains dans la construction de l'embrasement des forces qui se rendraient compte du Cameroun Nouveau. La nature scientifique des choses montre que le système n'est pas durable, mais nous ne pouvons pas lui permettre de s'attarder à sa mort tout en noyant nous et le pays dans le processus.

Combien de temps nous démontons ce système dépend de combien de temps les Camerounais surmonter leur léthargie politique, leur préjugés sociaux, leur mentalités infectés par le système et  leurs associations irrationnelles;puis embrasser l'idéal tout compris de l'Union camerounaise nationalisme qui n'a jamais trahi au cours des 100 dernières année, et que le système a combattu sans pitié ; car il va faire du Cameroun un  nation juste, solidaire, bilingue, progressiste, démocratique, libéral, libre et avancé qui serait une incarnation de l'humanisme pour une Afrique qui sera intégrée politiquement et économiquement unifié.


October 12, 2010                                                      Janvier Tchouteu-Chando