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Saturday, September 24, 2011

WHEN THE DIASPORA GIVES UP ON CAMEROON

Cameroon has less than ten years to change or else it will lose the goodwill, support, commitment and other strategic resources of its Diaspora. The generation that was in its youthful age in the 1990s and that acted as soldiers of the struggle for change has matured, but unfortunately is abroad. Only they have the zeal, sense of direction that has been groomed over the years, unwavering sense of patriotism and an all-embracing political ideology that accommodates all Cameroonians, irrespective of their linguistic affiliation, ethnicity or tribe. This group that did not participate in the rape of Cameroon will turn 50 and 60 in the next ten years. Then, they will become more focused on their career, families and new life abroad---which is like giving up on Cameroon. They will have to lead the struggle in the next two- five years or else find themselves and Cameroon cast into oblivion and political despondence.

The politically conscious of the Diaspora will relate better to the dreams, pains, or sufferings and frustrations of today’s youth who are supposed to be the soldiers of change in the creation of the new Cameroon.

Politically, the absence of dual nationality and persistent uncertainties even after the granting of Diaspora voting rights, could sideline them from the political evolution of Cameroon which will reach a turning point in the coming years as exclusion and necessity  force them to embrace the citizenship of their host countries. Unknown to many, there is a good percentage of Cameroonians who though qualified to obtain foreign citizenship, has been hesitating, conscious of the road blocks to dual nationality.

Economically, the umbilical cord linking the Diaspora to their Cameroonian families mostly in the form of remittances and real estate and other investment projects, will decline as their home families age and die or follow them by immigrating, taking away any incentive for the Diaspora to continue committing themselves economically to Cameroon.

Socially, the culture developing in Cameroon, centred on corruption, mismanagement, division (tribalism, nepotism, and favouritism) is separating Cameroon from the global civilization that the Diaspora identifies with. The current Diaspora can manage to navigate its way around when they come home for business; but the younger generation in the Diaspora, especially those born abroad, whose link to Cameroon is through the eyes of their parents, will be completely lost if their parents disengage from Cameroon in five to ten years time. They would focus fully on building a new life abroad for themselves and their descendants.

In a nutshell, if the system stays in place within the next five-ten years; and the Diaspora born in the 1960s and 1970s reaches retirement age while their children are all grown and devoid of any genuine affiliation to Cameroon; that reliable generation of the Diaspora will most likely give up on Cameroon.

The author, Janvier Chando (a published Cameroonian writer with several books living in the US---More of his views can be read on his bog World View:http://world-tobe.blogspot.com) wrote this article together in Yaoundé on August 01, 2011. Published by This is News, a newspaper in Cameroon.


                                                                                      

Friday, September 16, 2011

LES SENTIMENTS ANTI-BAMILEKE ET L'UNION NATIONALISME DU CAMEROUN :

La haine est une émotion négative et aveuglante. Et il y a un nom pour une maladie qui affecte les gens qui détestent ou qui ont peur des personnes et des choses qu'ils ne doivent pas être haineux ou craintifs à propos de. C'est appelé manie de persécution.

J'ai indiqué il y a quelques décennies, après une observation attentive, que les Camerounais ne peuvent jamais être en mesure de mobiliser toute la force de se débarrasser du système français-infligée que si elles viennent à accepter leur anglophones et les problèmes Bamiléké. La majorité des Camerounais (francophones et anglophones, à l'exception de la minorité qui constituent le système au pouvoir) est venu à accepter le problème anglophone et ont voté dans leur majorité pour John Fru Ndi, un anglophone à l'élection présidentielle de 1992, tout comme les majorité des Américains ont surmonté les préjugés de plusieurs siècles et vieux de plusieurs décennies contre les Noirs, en votant Obama au pouvoir.

Mais cela m'attriste lorsque des personnes qui viennent du groupe anglophone qui ont été marginalisés par le système, de manière flagrante présentent ces mêmes préjugés et idées préconçues contre un groupe ethnique ---- peuples Bamiléké. L'utilisation de la peur ou la haine du peuple Bamiléké en particulier, était l'un des principaux cris de ralliement que les Français, Ahidjo, Biya et le système français a imposé utilisés pour maintenir le pouvoir et le contrôle au Cameroun. Nous avons pensé que la préconception du peuple Bamiléké comme un ennemi national au sein avait été brisé en 1990. Il semble qu'il n'a pas été brisé.

Nous ne pourrons jamais battre le système à moins que nous à surmonter le lavage de cerveau contre les Bami, Anglo et d'autres groupes au Cameroun qui a été faite de la mentalité nationale par le système au pouvoir. Quiconque garde cliquetis à ce sujet fait de lui-même comme un ennemi du peuple et un obstacle au changement. Vous êtes automatiquement de vous-même faire une force de division dans la lutte.

Les forces historiques sont proches de la configuration qui va balayer le système à partir du pouvoir. Nous ne pouvons pas se permettre d'avoir de division dans nos rangs, à ce moment historique. Notre avenir appartient à une Afrique qui est démocratique, uni, économiquement intégré, avec tous les droits civils, libertés et des avantages pour sa population. Cameroun serait la quintessence de cette nouvelle Afrique en raison de son héritage comme une incarnation des résultats positifs qui peuvent sortir d'une population diversifiée avec un passé tragique; qui ont surmonté leurs traumatismes et les différences, harnaché leurs espoirs et rêves et construit sur leur mutuelle compatibilités de réaliser un état nation prospère.

Notre génération a la tâche colossale de réaliser et d'élargir la vision de Cecil Rhodes d'une ligne de chemin de fer du Cap au Caire, et reprendre le flambeau des héros contemporains et des idées d'unification de l'Afrique dans la tâche incontournable qui aboutira à l'union économique et l'intégration politique de l'Afrique. Pour atteindre ces objectifs, nous devons regarder au-delà de notre nez.

Un véritable nationaliste camerounais de l'inclinaison Union (Union nationaliste) ne s'attarde pas sur les appartenances ethnique, la tribu, linguistique ou de religion, etc. Les Union nationaliste avec la vision révolutionnaire ne se seront eux-mêmes pas soumis à la pitié ou à l'aumône à partir du système, ses soutiens ou ceux qui par intérêt personnel sont traitant ou collaborer avec le système.

Je ne pense pas que je suis le seul à regarder vers un avenir où un Africain dirais Ubi bebe, ibi patria vera!! (Où il va bien avec moi, il y a ma véritable patrie.), Ou lorsque je pouvais dire que je suis un camerounais,   née comme un Bakwerie ou un enfant du Sud-Ouest de l'ethnie Bamiléké, sans recevoir les réponses vermineux à mes déclarations. Ou même être appelé Mola, tout comme certains des amis de mon père l'a appelé.

Laissez un millier d'idées fleurissent sur la façon dont le Cameroun de demain, un Cameroun qui accepte, un Cameroun qui enrichit, devrait ressembler. Le Cameroun a un rôle historique à jouer dans la réalisation de la nouvelle Afrique. Le triangle négligemment tirés appelé Cameroun incarne l'esprit de l'Afrique.

Aucun peuple ne sont collectivement mauvais. Seuls les individus sont mauvais. Et le mauvais système en place à des éléments de tous les groupes ethniques, religieux, et sociaux au Cameroun. Les Allemands n'ont jamais été collectivement condamnés comme sanguinaires, malgré les atrocités du nazisme. Les Hutus n'ont pas été ostracisés au cours du génocide rwandais. Tous les Rwandais sont aujourd'hui considérées comme des bâtisseurs potentiels du nouveau Rwanda, un pays qui se trouve en Afrique comme l'un des rares en Afrique qui a un sens de l'orientation.

Ainsi, les défenseurs du Cameroun Nouveau, les nationalistes de l'Union de toutes les nuances d'idées et de croyances; Joignons nos mains en rejetant le système. Il est temps d'affronter le système et commencer à travailler pour le CAMEROUN NOUVEAU qui rejette les stéréotypes ourdi par Jacques Foccart et le système anti-camerounaise mis en place par la France, un système qui étouffe notre développement et qui divise nos rangs. C'est un système anachronique.



Janvier Tchouteu