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Saturday, August 13, 2011

LE SPECTRE DE VIE QUI NOUS HANTE ---- PAUL BIYA:

Posez cette question aux tous les Camerounais avec une profonde perception du monde: Qui est le chef d'état le plus malhonnête et illusoire en Afrique? La réponse de la majorité absolue serait évidente. Notre locataire dans le Palais de l'Unité est le chef de l'Etat.

Le deuxième président du Cameroun est un mauvais chef de l'Etat. Sa gouvernance a détruit la plupart des fondations des manier de vie et des valeurs progressistes  de notre peuple. Sans principes, sans scrupules et sans vision, il était insaisissable suffisamment durant ses premières années de leadership en convainquant de nombreux à le considérer comme un leader brillant. Oui, il s'est fait brillant et attrayant pour les gens, même en dépit de ses véritables convictions.

Le second président Camerounais, est un démagogue qui harangua à propos son New Deal de rigueur et de moralisation, quand il jamais eu l'intention de travailler pour l'intérêt de tous les Camerounais. Il est arrivé au pouvoir dans le seul but de défendre les intérêts de son patron (la mafia dans l'establishment français qui dirige la politique africaine de la France), pour améliorer le bien-être matériel et la position sociale de sa clique d'hommes d'affaires sans scrupules, politiciens, fonctionnaires et surtout le groupe ethnique de sa naissance.

Le deuxième président Camerounais est déshonorant, et il est un homme sans convictions. Il a commencé ses manifestations politiques comme un nationaliste Camerounais d'orientation socialiste, sous la bannière de l'Union des Populations du Cameroun (UPC), mais bientôt sans hésitation jeté son vêtement nationalistes pour les postes de haute offerts aux renégats de la lutte Camerounais par le régime  Anglophobe de Ahmadou Ahidjo et ses maîtres. Ayant allumé sa fidélité à la gloire de la puissance nue dans le régime français soutenu par supervisant le génocide des forces syndicales nationalistes au Cameroun, Paul Biya a rapidement gagné le cœur de son patron pour devenir Premier ministre en 1972 et plus tard président en 1982. Après cela, il a versé tous les aspects de ses liens avec le nationalisme Camerounais et est devenue une fervente francophile et manipulateur des anglophones. Aujourd'hui, il est clair aux yeux de tous que Paul Biya se présente comme le chef des forces renégats qui peuvent éventuellement tuer le nationalisme Camerounais et mener la nation vers l'abîme, en niant le pays de réaliser son rêve séculaire de l'unité, l'indépendance, la prospérité et opportunités ouvertes.

Paul Biya est sans but, sans visage et paranoïaque. Ses longues années de pouvoir et de la vacuité de son règne ont été masqués par la mafia Françafrique et ses collaborateurs Camerounais. Durant ses premières années comme chef de l'Etat, Paul Biya a parlé de rigueur dans la mise en œuvre de l'éthique de travail progressif, des règles, des lois, la liberté, les droits de l'homme et des réformes économiques; quand il n'a jamais voulu le moindre changement dans le système corrompu qui la France a imposé et que il a hérité de son prédécesseur. Biya n'a jamais eu la moindre intention de changer le cours de la dictature, la corruption, la kleptomanie et de division qui était la règle du système et les attributs du pouvoir et des richesses qu'il offrait. Une décennie après son prononcé de la rigueur, le Cameroun qui avait le deuxième plus fort taux de croissance économique dans le monde après la Corée du Sud en 1986 (même s'il a été à la traîne de ses potentialités vrai à l'époque), est aujourd'hui, avec le moins d'économie prometteuse en Afrique.

La rhétorique de moralisation  de Biya est un abus inacceptables pour l'humanité. Même s'il a promis de rendre son règne une morale où la gouvernance serait basé sur un programme pour améliorer la bonne conduite des affaires publiques, sociales, économiques et politiques, il est revenu en présidant la pire dégénérescence d'un pays africain qui n'est  pas ravagé par la guerre.

Malheureusement pour les Camerounais, Paul Biya est un de ces produits regrettables de la nature avec un force de caractère qui est une négation de ce qu'on appelle un bon leadership. Il ne le dérange pas du tout que ses actions quasiment mauvais et son règne a réduit les Camerounais en un peuple miséreux, érodé leur sens du but, divisés dans leurs rangs, leur rendu dans les poignées de découragement, dénigré leur influence dans la politique nationale et internationale, et a encouragé la corruption à la forme d'un art, et surtout, il convient à son proposons qu'il a enveloppé le Cameroun en l'embrayage et les caprices de la France.

De origines paysannes, Biya a appris, mais à tort assimilé les valeurs aristocratiques. Le triste résultat de cela est son mépris injustifiés des masses d'où il avait ses origines. Comme un homme de savoir élevé, c'est regrettable que, malgré ses longues années de service dans le système, il possède encore tous les traits d'un pseudo-intellectuel et un pédant. Et elle est due à la conscience de sa faiblesse intellectuelle qu'il a développé un complexe d’infériorité masquée. C'est pourquoi il rejette, snobe et se dérobe à partir des bonnes idées de ses supérieurs intellectuels.

Le Cameroun est le seul pays en Afrique où ses combattants de la libération et les nationalistes n'ont jamais été autorisés à la tête du pouvoir. Elle est la première nation en Afrique où la France s'est profondément impliqué dans la collaboration avec Ahidjo, dans le génocide de ceux qui ont résisté de son mensonge (près d'un million de morts dans la guerre 1956-1970 contre l'UPC). Le Cameroun est le seul pays en Afrique, qui a été le plus cruellement violée dans nos temps modernes par la France. Même si les Camerounais sont l'une des personnes les plus dynamiques du continent, ils n'ont jamais été libre d'exploiter leur potentiel et de construire leur pays dans la grande nation qu'il mérite vraiment. Au lieu de cela, les Camerounais ont été abaissés par un complot ourdi au cours des années de contrôle de Jacques Foccart, le dirigent  de la politique française sur l'Afrique, une conspiration qui a effectivement utilisé les collaborateurs Camerounais, Paul Biya, en particulier.

Ca ne dérange pas le deuxième président Camerounais que le peuple Camerounais sont suffocant dans sa servitude. Il a perdu le contact avec les masses Camerounaises, la réalité Camerounaise et la vie dans ses différentes formes. Cependant, contrairement à son homologue psychopathe, l'empereur romain Néron, il a maîtrisé un art---l'art de garder le pouvoir, malgré l'opposition des masses. Et comme la plupart des mégalomanes et des expérimentateurs, il continuerait à expérimenter sa théorie de la rétention de pouvoir, en dépit de son impopularité. Il  ne s'inquiète pas que le peuple Camerounais sont traînés vers l'abîme dans le processus.

Biya effectue sa théorie de la rétention de pouvoir sur nous, une expérience qui va certainement détruire le meilleur de nos forces créatrices, si nous lui laisser persister. Par ailleurs, en continuant pour rester au pouvoir, il détruit la foi que nous avons dans notre rêve et le pire reste la mère de progrès, qui est l'espoir. Le triste résultat de la catastrophe de la règle Biya serait la mort du Cameroun. Pour l'esprit rationnel, c'est inacceptable.

Peut-être pour un peu plus longtemps, le spectre de vie qui représente le deuxième président Camerounais va continuer à hanter le peuple; traîtresse dans ses voies, impitoyable dans ses méthodes et nonchalant dans ses vues. C'est notre tâche inévitable, si ce n'est que pour le bien de nos enfants, que nous nous levons; reprendre notre dignité, espoir et l'avenir de lui et de ses mécènes. Puis en suivant le cours naturel de l'histoire, nous limiterons lui et son héritage à la poubelle de l'histoire.


28 février 1995



Janvier Tchouteu


                                                                                      

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